Le cadre légal du congé supplémentaire pour enfant en 2025 : droits et obligations
En 2025, le congé supplémentaire pour enfant constitue une avancée notable dans le droit du travail français, offrant aux salariés des opportunités élargies pour mieux concilier vie professionnelle et responsabilités familiales. Ce congé s’inscrit dans un ensemble de dispositifs légaux destinés à soutenir les parents dans la gestion de leurs enfants, notamment lorsqu’ils sont à charge.
La réglementation prévoit que tout salarié ayant des enfants à charge peut bénéficier de jours de congés additionnels, distincts des congés payés classiques, sous certaines conditions. Ces congés viennent s’ajouter au congé parental traditionnel, aux congés maternité et paternité existants, afin de renforcer le soutien au sein du foyer.
Par enfant à charge, on entend un enfant vivant au foyer du salarié et âgé de moins de 15 ans au 30 avril de l’année de référence. Dans certains cas, ce seuil peut s’élargir notamment pour les enfants en situation de handicap.
- Droit à deux jours de congé supplémentaires par enfant à charge si le salarié est âgé de moins de 21 ans au 30 avril de l’année précédant la prise de congé.
- Droit à un jour de congé supplémentaire par enfant si le nombre de jours de congé légal acquis n’excède pas six jours ouvrables.
- Ces jours s’ajoutent aux congés annuels et ne peuvent être déduits du solde global des congés payés.
Ce dispositif s’appuie sur l’article L.3141-8 du Code du travail et les décrets d’application en vigueur en 2025. Le gouvernement a par ailleurs décidé que le montant de l’indemnisation correspondante, lorsque le congé est indemnisé, sera fixé par décret, assurant ainsi une rémunération adaptée.
Pour les entreprises, cela implique une mise à jour des fiches de paie et une anticipation dans la gestion des absences afin d’accueillir ces nouveaux droits à congé dans le planning des ressources humaines. De nombreuses sociétés ont déjà commencé à sensibiliser leur personnel et à former les responsables RH sur le mode d’emploi de ces congés supplémentaires, afin de fluidifier les démarches clients internes.
| Condition | Droit à congé supplémentaire | Détails |
|---|---|---|
| Salarié âgé de moins de 21 ans au 30 avril | 2 jours par enfant | Pour chaque enfant à charge, applicable sous conditions d’ancienneté |
| Salarié avec congés légaux acquis ≤ 6 jours | 1 jour par enfant | Congé supplémentaire réduit si congés légaux peu élevés |
| Enfant à charge | Âge inférieur à 15 ans | Enfant domicilié au foyer, incluant certaines situations de handicap |
En résumé, 2025 instaure une nouvelle dynamique dans la reconnaissance des droits des salariés parents, renforçant la conciliation du travail et de la parentalité grâce à ces congés supplémentaires dédiés.

Comment faire une demande de congé supplémentaire pour enfant : guide pratique et démarches en entreprise
Mettre en œuvre son droit à congé supplémentaire pour enfant commence par une démarche administrative structurée et conforme aux règles internes de chaque entreprise. En 2025, comprendre le mode d’emploi complet de la demande de congé est indispensable pour éviter tout malentendu et assurer une bonne gestion du temps de travail.
La première étape est toujours d’informer son employeur par écrit, idéalement par email, en précisant :
- La nature du congé demandé (congé supplémentaire pour enfant).
- Le nombre de jours sollicités, en précisant le nombre d’enfants à charge.
- La période souhaitée pour le congé, en tenant compte des besoins personnels et des impératifs professionnels.
- Le justificatif démontrant la charge effective de l’enfant (ex. livret de famille, certificat de scolarité, ou attestation officielle).
Selon la taille et les pratiques de l’entreprise, le salarié peut être invité à utiliser un formulaire spécifique ou à se rapprocher du service des ressources humaines pour valider la demande. La loi oblige l’employeur à répondre dans un délai raisonnable, généralement de 15 jours, pour accepter ou motiver un refus éventuel.
Il est important de noter que ce congé constitutif d’une absence autorisée ne doit pas entraîner de perte de salaire, sauf disposition collective contraire prévue par l’entreprise ou la convention collective applicable.
Exemple de démarche dans une PME
Dans une PME d’environ 50 salariés, Claire, mère de deux enfants de 10 et 13 ans, souhaite poser ses deux jours supplémentaires de congés pour une organisation familiale liée à la rentrée scolaire. Elle adresse un email au responsable RH, joint son livret de famille en scan, indique les dates envisagées, et précise son besoin d’aménagement.
Le responsable valide la demande au regard du planning de l’équipe et confirme par écrit la prise en compte de ces journées. Cette anticipation facilite le remplacement de Claire durant son absence et rassure tant le salarié que l’employeur sur la continuité de service.
| Étapes de la demande | Conseils pratiques |
|---|---|
| Informer l’employeur | Par écrit, suffisamment en avance, en précisant les motifs et la durée |
| Fournir justificatifs | Livret de famille ou autres attestations officielles à jour |
| Connaître le règlement interne | Vérifier les politiques de l’entreprise et les conventions collectives applicables |
| Obtenir confirmation | Recevoir un accord écrit pour sécuriser la demande de congé |
Cette organisation rigoureuse contribue à préserver les droits des salariés tout en garantissant la bonne marche de l’entreprise. Les ressources humaines jouent un rôle central dans l’accompagnement au quotidien des parents en quête d’aménagements.
Les bénéfices du congé supplémentaire enfant pour la qualité de vie des salariés
Le droit à un congé supplémentaire pour enfant, instauré en 2025, va bien au-delà d’un simple avantage administratif. Il répond à une exigence sociétale forte : permettre aux employés parents de concilier plus sereinement vie professionnelle et vie familiale.
Dans un monde du travail souvent stressant, le soutien apporté par ce congé facilite la gestion des urgences familiales, les rendez-vous médicaux, ou encore les activités scolaires. Ainsi, les salariés bénéficient d’un cadre plus humain et respectueux de leurs besoins. Les conséquences positives sur la productivité et l’engagement à long terme sont mesurables.
- Réduction du stress parental lié aux obligations vis-à-vis des enfants.
- Meilleure concentration au travail grâce à une gestion plus efficace des priorités familiales.
- Diminution des absences imprévues et meilleures planifications grâce à une anticipation accrue.
- Renforcement du sentiment d’appartenance et de reconnaissance de la part de l’employeur.
Ces bénéfices ne sont pas abstraits. Par exemple, dans une étude menée en 2024 auprès de plusieurs entreprises ayant expérimenté le dispositif, 78 % des salariés parents ont déclaré se sentir davantage soutenus et moins contraints dans leurs choix familiaux.
| Bénéfice | Impact | Exemple concret |
|---|---|---|
| Diminution du stress | Meilleure santé mentale | Parent évitant une crise liée à une urgence scolaire |
| Optimisation de la concentration | Augmentation de la qualité de travail | Employé plus vigilant à ses tâches après congé |
| Planification facilitée | Moins d’absences imprévues | Équipe mieux organisée autour des congés |
La dynamique instaurée par ce congé supplémentaire montre que la reconnaissance des droits des salariés liée à la parentalité est une réelle source de progrès social et de qualité de vie au travail.

Les spécificités du congé parental face au congé supplémentaire enfant : différences et complémentarités
Il est crucial de distinguer le congé parental classique du congé supplémentaire pour enfant instauré par la législation 2025 pour bien appréhender les droits et les modalités d’application.
Le congé parental s’adresse principalement aux parents souhaitant s’absenter plus longuement pour s’occuper d’un enfant jusqu’à ses trois ans, voire plus selon les cas. Il peut être fractionné et parfois rémunéré, selon les régimes sociaux et conventions. En revanche, le congé supplémentaire se limite à des jours très courts (1 ou 2 jours par enfant), pour faciliter notamment la gestion ponctuelle et souvent imprévue de la vie familiale.
- Durée : Congé parental peut durer plusieurs mois, congé supplémentaire limité à quelques jours.
- Public : Congé parental ouvert à tous les parents, congé supplémentaire réservé sous conditions d’âge du salarié et d’enfants à charge.
- Indemnisation : Le congé parental peut être indemnisé par la Sécurité sociale, le congé supplémentaire dépend d’un décret à venir sur l’indemnisation.
- Procédure : Le congé parental nécessite un préavis généralement long, le congé supplémentaire s’organise avec un préavis plus court.
Le tableau ci-dessous synthétise ces différences :
| Critère | Congé parental | Congé supplémentaire pour enfant |
|---|---|---|
| Durée | De 6 mois à 3 ans (possible extension) | 1 à 2 jours par enfant à charge |
| Bénéficiaires | Parents de jeunes enfants, sans limite d’âge du salarié | Salariés de moins de 21 ans au 30 avril, avec enfants à charge |
| Indemnisation | Indemnisation via la Sécurité sociale | À déterminer par décret |
| Formalités | Préavis de plusieurs semaines | Demande simple, réponse en 15 jours |
Ces dispositifs sont donc complémentaires. Tandis que le congé parental permet une prise en charge prolongée des enfants, le congé supplémentaire répond à un besoin immédiat et ponctuel, offrant ainsi à chaque parent la flexibilité nécessaire selon sa situation.
Les droits des salariés face à l’absence autorisée liée au congé supplémentaire enfant
L’une des questions majeures pour les salariés qui envisagent de prendre un congé supplémentaire pour enfant est celle de l’absence autorisée : en quoi leur statut est-il protégé ? Quels sont les impacts sur leur contrat et leur rémunération ?
La loi en 2025 précise que ce congé est une absence autorisée au même titre que les congés payés, ce qui signifie que le salarié ne peut être sanctionné ou pénalisé dans son emploi du temps ni dans sa rémunération normale. Cette protection fait partie des avancées notables dans les lois sociales récentes.
- Maintien de la rémunération sauf disposition conventionnelle différente.
- Absence non considérée comme motif de licenciement ou une cause de pénalité.
- Garantie de conservation du poste et des droits liés à l’ancienneté.
- Possibilité de prise en charge par la sécurité sociale si applicable selon le décret à paraître.
La santé économique et sociale des salariés s’en trouve renforcée, ce qui souligne l’importance pour les entreprises de s’adapter et d’intégrer pleinement ces droits dans leur politique RH.
Voici un tableau résumant les protections liées à ce congé :
| Droits du salarié | Application en 2025 |
|---|---|
| Maintien du salaire | Oui, sauf indication contraire dans la convention collective |
| Garantie d’emploi | Position conservée, pas de licenciement lié au congé |
| Impact sur ancienneté | Aucun impact négatif |
| Protection contre les sanctions | Interdiction de sanction liée à la prise de congé |
Ainsi, la législation 2025 assure un cadre sûr aux salariés souhaitant bénéficier de ces congés, encourageant une demande plus fluide et une meilleure acceptation au sein des équipes.

Variables et limites : cas particuliers et restrictions sur le congé supplémentaire enfant en 2025
Si les bénéfices du congé supplémentaire pour enfant sont évidents, il est tout aussi important de comprendre que le dispositif présente certaines limites et exclusions qu’il convient d’anticiper pour éviter les déconvenues.
Parmi les principales restrictions :
- Restriction d’âge : le salarié doit être âgé de moins de 21 ans au 30 avril précédent la prise de congé. Passé ce seuil, aucun droit automatique à ces congés n’est garanti.
- Limitation à l’enfant à charge : seuls les enfants domiciliés au foyer et âgés de moins de 15 ans (ou en situation spécifique de handicap) ouvrent droit aux congés supplémentaires.
- Absence d’indemnisation claire : en attendant la publication d’un décret, certains salariés pourraient ne pas percevoir de rémunération pour ces congés.
- Existence de conventions collectives plus favorables : certaines entreprises ou branches peuvent prévoir des congés supplémentaires différents, parfois plus étendus, ce qui peut générer des disparités.
Ces contraintes peuvent poser question notamment dans des situations particulières :
- Salarié proche des 21 ans souhaitant bénéficier du congé.
- Parents d’enfants majeurs mais en situation de handicap.
- Demande de congés multiples liées à plusieurs enfants au foyer.
Dans ces cas, il est vivement conseillé de consulter la convention collective applicable, voire de solliciter un avis juridique spécialisé afin de clarifier les droits et obligations. Les services RH et les syndicats constituent aussi des ressources clés pour éclairer les salariés en situation complexe.
| Limite | Détail | Conséquence pour le salarié |
|---|---|---|
| Âge du salarié supérieur à 21 ans | Non éligible au congé supplémentaire | Perte du droit spécifique, recours à d’autres congés possible |
| Enfant majeur sans situation de handicap | Ne donne pas droit au congé | Pas de jours additionnels accordés |
| Délai d’indemnisation non fixé | Indemnisation variable selon décret | Incertitude sur le salaire pendant l’absence |
Il est fondamental que les salariés maîtrisent ces aspects afin d’anticiper les demandes et d’adapter leur organisation familiale et professionnelle en conséquence.
Le rôle des conventions collectives et accords d’entreprise dans l’application du congé supplémentaire enfant
Les lois sociales posent un cadre national pour le congé supplémentaire pour enfant, mais les conventions collectives et accords d’entreprise peuvent renforcer ou préciser ces droits. En 2025, il est recommandé à chaque salarié de consulter ces documents afin de savoir si des dispositions plus favorables sont applicables dans son entreprise.
Ces accords peuvent intervenir sur plusieurs points :
- Durée des congés supplémentaires : certaines conventions peuvent prévoir jusqu’à 3 ou 4 jours supplémentaires par enfant.
- Indemnisation intégrale : dans certains secteurs, une prise en charge complète du salaire pendant le congé est assurée, évitant ainsi toute perte financière.
- Modalités de demande : conventions collectives plus souples en termes de délais ou documents justificatifs.
- Extension du droit d’âge : élargissement du plafond d’âge du salarié bénéficiaire.
Cette diversité souligne combien la connaissance des règles internes est cruciale. En cas de doute, il est utile de discuter avec le délégué du personnel ou un représentant syndical. L’entreprise peut aussi organiser des sessions d’information ou diffuser des guides spécifiques pour les parents salariés.
| Aspect réglementaire | Dispositions nationales | Possibilités dans les conventions collectives |
|---|---|---|
| Nombre de jours | 1 à 2 jours par enfant selon conditions | Peut aller jusqu’à 4 jours dans certains secteurs |
| Indemnisation | À définir par décret | Maintien intégral du salaire possible |
| Procédure de demande | Formelle avec justificatifs | Possibilité de procédure simplifiée |
| Conditions d’âge | Salarié | Extension possible |
En somme, le dialogue social reste primordial pour assurer une bonne application et une meilleure appropriation des droits liés au congé supplémentaire enfant.
Les impacts économiques du congé supplémentaire pour enfant en entreprise et dans la société
Au-delà du volet social et humain, le congé supplémentaire pour enfant influence également l’économie des entreprises et, plus largement, celle de la société. En 2025, la prise en compte de ce congé dans la gestion des ressources humaines change doucement les paradigmes traditionnels.
Du point de vue des entreprises, il faut en effet intégrer ces jours d’absences dans la planification opérationnelle, ce qui peut engendrer :
- Un besoin accru de flexibilité dans la gestion des équipes.
- Des coûts liés à la substitution temporaire du personnel absent.
- Un investissement dans des outils digitaux pour le suivi des congés et leur validation.
- En contrepartie, une amélioration de la fidélisation des salariés et une baisse du turnover.
Pour la société, ces congés supplémentaires favorisent une meilleure égalité entre parents, notamment en partageant davantage la responsabilité familiale. Cette évolution contribue à réduire les inégalités professionnelles liées à la parentalité et à promouvoir une dynamique familiale saine.
| Niveau | Effet économique | Exemple |
|---|---|---|
| Entreprise | Coût administratif et remplacement | PME adaptant les plannings pour intégrer les congés |
| Salarié | Amélioration de la qualité de vie | Réduction du stress et meilleure performance |
| État/Société | Promotion de l’égalité parentale | Mesures visant à équilibrer vie familiale et carrière |
Il apparaît donc que la mise en œuvre du congé supplémentaire pour enfant, tout en demandant une adaptation technique, représente un investissement social fertile pour la cohésion et la productivité à long terme.
Les conseils essentiels pour bien gérer son congé supplémentaire pour enfant
Pour tirer pleinement profit de ce nouveau droit, il convient que chaque parent salarié adopte une stratégie claire et maîtrisée pour organiser son congé supplémentaire. Ces conseils pratiques aideront à maximiser les bénéfices tout en respectant les contraintes professionnelles.
- Planifier en amont : anticiper les besoins familiaux et prévenir l’employeur suffisamment tôt.
- Documenter soigneusement les justificatifs pour éviter toute complication administrative.
- Communiquer clairement avec son manager et ses collègues pour organiser au mieux la reprise après congé.
- Connaître ses droits via la lecture du Code du travail et des conventions collectives.
- Être flexible sur les dates pour faciliter l’acceptation de la demande.
- Profiter du congé pour se ressourcer et répondre aux besoins spécifiques de l’enfant.
De nombreux salariés témoignent que cette gestion proactive réduit significativement les tensions et les situations conflictuelles liées à la conciliation vie privée / vie professionnelle.
| Conseil | Avantage | Application concrète |
|---|---|---|
| Planifier à l’avance | Meilleure acceptation des dates | Poser le congé deux mois avant l’utilisation |
| Préparer les justificatifs | Gain de temps administratif | Avoir son livret de famille à jour |
| Communiquer avec l’équipe | Fluidité de travail assurée | Avoir un collègue informé prêt à prendre le relais |
Évolutions et perspectives du congé supplémentaire pour enfant : anticiper les prochaines réformes
Si le congé supplémentaire pour enfant en 2025 marque un tournant en matière de droits familiaux au travail, il est aussi important de regarder vers l’avenir et les perspectives d’évolution du dispositif. Le gouvernement et les partenaires sociaux envisagent déjà plusieurs pistes d’amélioration.
Parmi les axes de réflexion en cours figurent :
- Clarification et extension des conditions d’octroi pour inclure les salariés au-delà de 21 ans, notamment dans des situations familiales spécifiques.
- Définition précise de l’indemnisation afin d’assurer une rémunération équivalente à celle des congés standards.
- Promotion d’une meilleure parité dans la prise de ces congés entre les deux parents.
- Renforcement des outils numériques pour faciliter la demande et le suivi des congés au sein des entreprises.
Ces évolutions visent à rendre ce droit encore plus accessible, transparent et équitable, contribuant ainsi à une meilleure qualité de vie et à une égalité parentale renforcée. Le dialogue social continuera d’être un levier essentiel pour faire progresser la législation.
| Axes d’évolution | Objectifs | Impact attendu |
|---|---|---|
| Extension des bénéficiaires | Inclure plus de salariés | Meilleure couverture des familles |
| Clarification indemnisation | Assurer un revenu stable | Réduction des inégalités |
| Parité entre parents | Encourager un partage équitable | Équilibre familial renforcé |
| Digitalisation des procédures | Faciliter la gestion | Gain de temps pour entreprises et salariés |
En constatant ces nouvelles orientations, les salariés comme les employeurs disposent déjà d’éléments pour préparer sereinement les prochaines années.
Qui peut bénéficier du congé supplémentaire pour enfant en 2025 ?
Tous les salariés âgés de moins de 21 ans au 30 avril précédent la prise du congé, ayant un ou plusieurs enfants à charge âgés de moins de 15 ans, peuvent bénéficier de ce congé. Le droit est adapté selon le nombre de jours de congé payés du salarié.
Comment faire une demande de congé supplémentaire pour enfant ?
La demande se fait par écrit auprès de l’employeur, avec justificatifs à l’appui. Le salarié doit préciser la durée souhaitée et la période envisagée. L’employeur doit répondre dans un délai raisonnable.
Le congé supplémentaire pour enfant est-il indemnisé ?
En 2025, l’indemnisation de ce congé doit encore être fixée par décret. Certains salariés peuvent donc ne pas percevoir de rémunération pendant cette période, sauf dispositions internes ou conventionnelles plus favorables.
Quelle est la différence entre congé parental et congé supplémentaire enfant ?
Le congé parental est un congé de longue durée destiné à s’occuper d’un enfant jusqu’à ses 3 ans ou plus, souvent indemnisé. Le congé supplémentaire pour enfant est court (1 à 2 jours), destiné à gérer des situations ponctuelles familiales.
Les employeurs peuvent-ils refuser la demande de congé supplémentaire ?
L’employeur doit respecter les droits des salariés mais peut refuser en cas de nécessité de service ou motifs justifiés. Le refus doit être motivé et notifié rapidement au salarié.